mardi 22 février 2011

Lux en Marcel dans un ascenseur

Allez quelques méchancetés gratuites contre un drôle de coco que j'arrive à détester, presque autant voir même plus (bel exploit) que mes amis du rugby : rosbifs, danseurs de tango et tueurs de kangourous réunis. J'ai nommé le roi des nègres blancs, le français (honte à lui) président de la coupe d'Europe de rugby, homme vendu au British de tous poils.

Bernardo, m'a dit l'avoir croisé sur des terrains de rugby, où cet homme était paraît-il un des grands trois-quarts centre de l'équipe de France. Je n'ai pas eu la chance de croiser sur des terrains. Je l'ai juste croisé l'an dernier, dans mon hôtel toulousain quand j'étais allé voir Pikachu secouer du Springboks. À défaut de le croiser sur le rectangle vert, et comme Bernardo de rater mon plaquage, j'ai partagé pendant quelques étages un ascenseur seul avec lui………… qui plus est en petite tenue (moi j'étais tout à fait décent) ! Je le dominais d’un regard amusé, qu'il a dû remarquer de son oeil vitreux, je pensais tout à la fois aux ignominies que j'écris sur lui, mais aussi à la chanson de Calogero « En apesanteur » : « pourvu que le voyage dure des heures dans cet ascenseur » !
Tout cela pour vous dire qu'alors que de l'autre côté de la Méditerranée, les peuples courageux tentent de secouer leur dictateur, dans l'Europe du rugby, d'autres arrivent à se faire élire par des pitreries de démocratie.

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